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Les délits retenus sont “harcèlement moral en ligne”, “menaces de mort”, tandis que pour la sixième personne, c’est “menaces de crime”.
La jeune Mila est la cible de menaces de mort depuis la publication sur les réseaux sociaux, en janvier 2020, d’une vidéo où elle critiquait l’islam.
Le père de Mila dénonce l’hypocrisie des institutions. Sa fille vient d’être mise à l’écart de l’internat militaire où elle était rescolarisée dans le plus grand secret.
Éditorial magistral de Patrick Cohen, une fois n’est pas coutume…
« 30 000 menaces de mort. Ce n’est pas je vais te tuer mais je vais t’égorger, je vais te sortir tes tripes, te les faire manger et te violer (…) Quand on atteint ce niveau-là, ce n’est pas la police qui peut régler la chose », affirme Richard Malka.
Il y a trois jours, le ministre de l’Éducation indiquait que ses services cherchaient un moyen discret de rescolariser “paisiblement” la jeune fille.
« Je ne regrette absolument pas mes propos, c’était vraiment ma pensée », a déclaré la jeune fille sur le plateau de l’émission Quotidien.
