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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Retailleau le sait : l’opinion gronde. Les Français n’en peuvent plus de cette soumission, de cette repentance perpétuelle, de cette diplomatie au garde-à-vous.
Il en rêvait, il l’a fait. Une initiative aussi spectaculaire qu’inédite, dans un pays habitué au duopole verrouillé des démocrates et des républicains.
Il en va de la sécurité, de la souveraineté, et d’une question que plus personne n’ose poser : jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour empêcher le chaos migratoire de devenir notre quotidien ?
Ce vendredi, la nouvelle est tombée : malgré la fête de l’Indépendance algérienne, le président Abdelmadjid Tebboune n’a pas accordé la moindre grâce à l’écrivain.
L’immigration massive, sans contrôle ni assimilation, nous pousse aujourd’hui à faire alliance avec l’obscurantisme pour tenter de garder le contrôle. C’est le prix amer de l’utopie.
À chaque sommet européen, les petits déjeuners organisés entre États favorables à une immigration maîtrisée deviennent des lieux de pouvoir réels, bien plus influents que les grands-messes officielles.
Le Danemark appelle ses filles. Peut-être que nous devrions, nous aussi, rappeler nos garçons — et cesser de rêver. L’Histoire n’attend pas les consensus. Elle fauche les peuples endormis.