Reims : excréments et menaces contre une élue RN – la démocratie piétinée par l’extrême gauche

Photo : X.com / @asfrigout

Une vitrine explosée. Des excréments jetés à l’intérieur. Un slogan anarchiste peint sur la façade. Ce n’est pas une scène sortie d’un roman de dystopie, mais bien la réalité de la vie politique française, en 2025, à Reims.

Dans la nuit de mercredi à jeudi, la permanence de la députée européenne du Rassemblement national, Anne-Sophie Frigout, a été sauvagement vandalisée. Celle qui est aussi candidate à la mairie de Reims pour 2026 n’est pas une inconnue : ancien professeur, patriote assumée, elle incarne cette nouvelle génération d’élus enracinés, décidés à rendre la parole au peuple. Et c’est précisément cela que ses ennemis ne supportent pas.


Des méthodes de voyous politiques

Briser des vitres, souiller un local à coups d’excréments, laisser des tags codés dans le plus pur style des groupuscules d’extrême gauche : tout y est. À chaque élection, à chaque poussée du RN dans les urnes, c’est le même schéma. La haine, la violence, la peur comme seule réponse au suffrage universel.

Il ne s’agit plus de simples dégradations : il s’agit d’un véritable attentat symbolique contre la démocratie. Une tentative d’intimidation politique que les autorités se contenteront, sans doute, de qualifier de « vandalisme » ou « débordement ».

Le silence complice des bien-pensants

Où sont les grands défenseurs de la République ? Où sont les cris d’indignation de la classe politique, si promptes à dénoncer la moindre affiche « clivante » collée par un militant de droite ? Quand il s’agit d’une élue RN, la violence semble presque tolérée, comme si elle était méritée.

Le deux poids deux mesures est devenu insupportable. Quand une mosquée ou une salle de prière est visée, l’État s’émeut, les médias hurlent à l’urgence républicaine. Mais lorsqu’une élue nationale, légitime, subit une attaque crapuleuse, le silence est d’or.

Une réponse politique assumée

Anne-Sophie Frigout ne baisse pas les bras. Dans un message clair, elle promet de mettre fin aux subventions municipales accordées aux officines de l’ultragauche violente et de renforcer la police municipale avec 200 agents armés et une brigade anti-incivilités. Voilà ce qui dérange : la promesse d’un ordre retrouvé face à l’anarchie tolérée.

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