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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Depuis plusieurs semaines, les quartiers dits “sensibles” de Nîmes sont secoués par des fusillades nocturnes, règlements de comptes à ciel ouvert, narcotrafiquants en roue libre.
À force de nourrir cette bête technocratique, nous avons créé une entité qui ne nous représente plus, mais nous gouverne. En silence.
Jusqu’à quand les dirigeants pourront-ils encore ignorer que l’exaspération monte ? Ce qui gronde aujourd’hui en Espagne n’est pas très différent de ce qui couve un peu partout sur le Vieux Continent.
Un détenu fiché, visé par une notice rouge d’Interpol, évadé sans effraction, sans arme, sans complicité armée, simplement en se glissant dans un sac. Voilà où nous en sommes.
Personne, dans les hautes sphères, ne semble décidé à poser la question qui fâche : que fait la république dans ces territoires où elle n’a plus ni autorité, ni respect, ni avenir ?
Sous l’ère Musk, les voix étouffées — conservatrices, souverainistes, critiques du progressisme — ont pu émerger, lorsque X a cessé de bannir systématiquement tout propos qui déplaît à la gauche morale.
Ce n’est pas un phénomène de marginalité. C’est une prise de territoire.