La semaine dernière, deux jeunes radicalisés ont été placés en garde à vue. Ils sont soupçonnés d’avoir eu des projets d’attaques sur le territoire français. Marlène Schiappa, interrogée hier sur cette affaire, pointe le concept de « jihadisme d’atmosphère ».

Gilles Kepel développe la thèse du «jihadisme d’atmosphère» qui consiste à prendre part à la défense de l’islam radical & politique, sans avoir été activé par une organisation terroriste (Al-Qaïda ou l’État islamique), ni même approché par des officines islamistes.

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