Mettant gravement en danger les vies des migrants auxquels ils font miroiter des paradis inexistants, les passeurs obtiennent parfois la complicité d’ONG qui se chargent de sauver en mer les malheureux qui ont utilisé leurs services rémunérés. Ces agissements inhumains ont été dénoncés par le ministre de l’intérieur, soulevant un tollé à gauche. L’avocat Gilles-William Goldnadel apporte quelques éclaircissements.

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