Dans certaines enclaves en France, l’hommage scolaire au professeur décapité ne s’est pas déroulé comme l’espérait le corps enseignant.

À Strasbourg, deux collégiens ont justifié le meurtre

À Marseille, un collégien a soutenu le terroriste

À Miramas, deux élèves ont accusé Samuel Paty

À Vitry-Sur-Seine, dans le Val de Marne, une petite fille de CM1 a, elle, refusé de se lever et de se taire pendant la minute de silence. Elle aurait déclaré à son institutrice, que ce sont ses parents, qui lui ont ordonné de ne pas respecter ce temps de recueillement.

Une adolescente d’origine algérienne a été placée en garde à vue lundi après-midi après avoir estimé dans la cour de récréation que Samuel Paty avait mérité ce qui lui était arrivé. Le parquet a requis sa mise en examen. . Des propos suffisamment choquants pour que la directrice de ce collège du Nord-Est de la capitale alerte les policiers du Service de l’accueil et de l’investigation de proximité (SAIP) du XIXe arrondissement.

L’adolescente a été placée en garde à vue lundi après-midi. Après une nuit au commissariat, puis une nuit au dépôt du tribunal judiciaire de Paris, elle a été présentée à un juge des enfants, nous indique ce mercredi le parquet, qui a requis sa mise en examen et son placement sous contrôle judiciaire pour mise en place d’un suivi éducatif.

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