Espagne : l’exaspération populaire explose face à l’insécurité migratoire

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Les événements de Torre Pacheco, dans le sud-est de l’Espagne, ont pris une tournure que les médias s’empressent déjà de qualifier de « raciste » ou d’« extrémiste ». Mais que s’est-il réellement passé ? Un homme de 68 ans, Domingo Tomás Domínguez, a été roué de coups en pleine rue par trois jeunes hommes que la victime décrit comme nord-africains. Son visage tuméfié a fait le tour des réseaux sociaux et a mis le feu aux poudres dans une population locale à bout.

L’indignation d’un peuple ignoré

Ce qui suit n’est pas une simple affaire de justice : c’est l’éruption d’une colère longtemps contenue. À Torre Pacheco, ville agricole où plus de 30 % des habitants sont immigrés, principalement marocains, le vivre-ensemble vanté par les élites se heurte à une réalité bien moins reluisante. Délinquance, sentiment d’insécurité, abandon des services publics, explosion démographique incontrôlée : voilà ce que vivent de nombreux Européens ordinaires, que ce soit à Murcie, à Marseille ou à Molenbeek.


Les habitants, que l’on caricature sans honte en « milices racistes », ont manifesté leur ras-le-bol. Des slogans ont été lancés, des affrontements ont éclaté, et les médias se sont empressés de pointer du doigt les méchants habituels : les « groupuscules d’extrême droite ». Comme toujours, c’est la colère populaire qui est mise au banc des accusés, jamais la cause.

Une insécurité importée mais niée

Le plus inquiétant dans cette affaire ? Le silence gêné ou les platitudes convenues des autorités. « Torre Pacheco doit retrouver la normalité », dit le maire. « Nous devons défendre nos valeurs », répète Pedro Sanchez. Mais personne ne s’interroge sur le fond : pourquoi un retraité est-il agressé dans une ville de province espagnole par des jeunes venus d’ailleurs ? Pourquoi la peur s’installe-t-elle dans les rues, au point que des citoyens organisent des rondes ?

Et surtout : pourquoi le simple fait d’évoquer la responsabilité de l’immigration dans cette dégradation du quotidien devient-il immédiatement « haineux » ou « fasciste » ?

L’État au chevet des agresseurs, pas des victimes

Le summum de l’inversion accusatoire est atteint lorsque des associations comme celle pour « l’intégration des immigrés » réclament une protection renforcée… non pas pour les autochtones, mais pour les populations immigrées, au moment même où un homme de 68 ans vient d’être roué de coups. Le message est clair : l’agressé dérange, l’agresseur doit être ménagé.

Les scènes de Torre Pacheco ne sont pas un dérapage isolé. Elles sont le symptôme d’un modèle à bout de souffle : celui d’une immigration massive, incontrôlée, imposée aux peuples d’Europe sans leur consentement, et toujours justifiée au nom de grands principes creux. Jusqu’à quand les dirigeants pourront-ils encore ignorer que l’exaspération monte ? Jusqu’à quand pourront-ils jouer la montre avec des phrases creuses et des CRS ? Car ce qui gronde aujourd’hui en Espagne n’est pas très différent de ce qui couve un peu partout sur le Vieux Continent.

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