La Lettre Patriote, ce sont principalement des faits, et très peu d’éditoriaux, vous le savez. Nous considérons que notre opinion n’a que peu d’importance en comparaison avec les faits, bruts.

Néanmoins, aujourd’hui, devant l’horreur d’Annecy, nous ferons une exception .

Les faits bruts, vous les connaissez déjà, via les médias traditionnels : un homme, demandeur d’asile, originaire de Syrie, a tenté de massacrer des enfants dans un parc. Certain d’entre vous ont même peut-être vu les images de l’attaque, envoyées par un ami, partagées sur un groupe WhatsApp ou Telegram…

Comme toujours lorsqu’un immigré – légal ou clandestin – commet un crime en France, tout devient soudain interdit.

D’abord, il est interdit de diffuser les images. Pourtant, lorsque c’est George Floyd qui meurt sous la botte d’un policier… les images tournent en boucle sur tous les médias. Mais ce n’est pas pareil…

Ensuite, il est interdit de poser des questions. Sur la politique migratoire de la France (ou son absence), par exemple. Poser des questions serait indigne. Pourtant, il nous semble que l’indignité va plutôt se nicher chez ceux qui laissent des étrangers massacrer nos enfants. Doit-on reparler de Lola ? Ah non… ce serait de la récupération.

Le mot est lâché. Ré-cu-pé-ra-tion. Le tabou ultime. L’interdit suprême. Le totem intouchable.

Et bien non, désormais nous refuserons d’obéir à cet ordre. Nous ne nous soumettrons plus. Nous « récupèrerons ». C’est-à-dire tout simplement que nous mettrons les véritables mots sur ces événements tragiques, qui étaient TOUS évitables. Oui, sur nos médias, dans nos familles, dans nos cercles d’amis, nous dirons QUI tue, nous dirons QUI collabore avec les tueurs, nous dirons notre sainte rage, parce que ce serait perdre toute humanité que de se taire désormais.

Ce soir, Pascale Clark, journaliste dont on connaît les appétences et les amitiés, a tweeté suite à l’horreur d’Annecy. Je vous laisse lire le tweet.

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