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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
À force de céder aux pressions communautaristes, certaines municipalités communistes n’ont plus peur de franchir les lignes rouges.
En choisissant de « se faire sortir » par l’Assemblée, le patron centriste a en réalité activé le levier le plus confortable du pouvoir.
Ils ont grandi avec les codes du numérique, avec la « culture » de la république, avec notre école — et c’est le rejet de la France qu’ils portent dans leurs veines.
Voilà le portrait d’une insécurité devenue banale, et qui touche désormais chacun de nous au coin de la rue.
À la différence du nazisme, le communisme n’a jamais eu son procès de Nuremberg. En France, il a même longtemps bénéficié de l’aura d’un parti qui se targuait d’être « du côté des ouvriers ».
Ces violences ne sont pas des débordements isolés : elles traduisent une haine profonde de ce que nous sommes, de notre histoire, de notre culture.
Les charges sont lourdes : corruption passive, violation du secret professionnel, détournement de fichiers de données personnelles, transmission frauduleuse de contenus sensibles et association de malfaiteurs.