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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Keir Starmer promet la fin des hôtels pour migrants, mais 20.000 clandestins ont déjà traversé la Manche depuis janvier.
Bruno Retailleau assume une ligne de fermeté inédite : restreindre les privilèges des responsables algériens, limiter l’accès au territoire français des élites accusées de « dénigrer la France », forcer le retour des clandestins sous OQTF que l’Algérie refuse toujours de reprendre.
Ce n’est pas la police qu’il faut désarmer, c’est l’impunité qu’il faut briser.
Le jeu de dupes entre Paris et Alger continue. Et comme toujours, la France se laisse gifler avec le sourire.
Retailleau voulait discuter d’Algérie ? Le président préfère tourner la tête. Il voulait parler des menaces islamistes ? Le chef de l’État délègue à Bayrou, dont la mission est de diluer, désamorcer, endormir.
Assez de naïveté. Un pays qui refuse de reprendre ses ressortissants n’a plus à bénéficier d’aucun avantage sur le sol français.
Quand 200.000 personnes vivent directement du trafic, quand les mafias opèrent depuis l’étranger, quand la cocaïne est devenue un produit de consommation banalisé, la réponse policière ne suffit plus.