C’est l’État qui le dit lui-même, dans le Code de la Sécurité Intérieure :

La sécurité est un droit fondamental et l’une des conditions de l’exercice des libertés individuelles et collectives.
L’État a le devoir d’assurer la sécurité en veillant, sur l’ensemble du territoire de la République, à la défense des institutions et des intérêts nationaux, au respect des lois, au maintien de la paix et de l’ordre publics, à la protection des personnes et des biens.

L’Article 9 du Pacte de l’ONU sur les Droits de l’Homme est aussi clair :

Tout individu a droit à la liberté et à la sécurité de sa personne.

Or, la juxtaposition de ses deux textes, mis en perspective avec la politique d’immigration complètement incontrôlée que nous subissons depuis 45 ans, rend évidente la faillite de l’État dans sa mission. Non, l’État ne nous protège plus. Au mieux tente-t-il de jouer au pompier pyromane, en acceptant sur notre territoire (pas le « sien », hein… le NÔTRE !) à peu près n’importe qui, sous divers prétextes fallacieux, pour ensuite prendre à coups de gesticulations des attitudes de sauveurs de la république en expulsant un imam une fois tous les trois ans.

Or, ça suffit.

Assez de déclarations sous forme de « plus jamais ça » lorsqu’on sait qu’il se passera moins de 25 heures avant le prochain assassinat.

Assez de marches blanches une fleur à la main, lorsque n »importe quelle personne saine d’esprit et dont le cerveau n’aurait pas été transformé en bouillie par des décennies de gauchisme médiatique sait que ce n’est pas avec des fleurs qu’on arrête une invasion meurtrière.

Un État digne de ce nom ne tolérerait pas que les citoyens soient abattus comme des lapins. Il les armerait.

Un État digne de ce nom de tolérerait pas qu’un seul immigré clandestin ne puisse éventuellement mettre en danger la vie d’un Français.

Un État digne de ce nom ne tolérerait pas que des organisations supranationales se permettent de le « condamner ».

Un État digne de ce nom aurait l’ascendant sur les forts.

Assez de ces minutes de silence organisées à l’Assemblée nationale par ceux-là même qui sont les principaux responsables de la catastrophe : les législateurs, qui n’ont cessé durant ces dernières quatre décennies, de pondre loi sur loi visant à transformer le quotidien de la France en une gigantesque opération portes ouvertes.

Assez de ces imposteurs, qui n’ont que mensonges à la bouche, inculture au cerveau, et duplicité dans les actes.

Assez !

Nous ne voulons plus les voir, nous ne voulons plus les entendre. Aucun d’entre eux. Passés, présents, à venir.

Ils ont failli. Ils ont failli à leur mission sacrée confiée par le Peuple : la protection. Pire, ils ont fait entrer le loup au milieu de nos brebis, et si on prétendait renvoyer le loup, ils se levaient en masse pour nous obliger à le garder parmi nous.

La liste des prénoms de nos morts, jointe à la liste des prénoms de leurs assassins, dessine l’ombre des trahisons des hommes et des femmes au pouvoir depuis 45 ans.

Il est temps pour le peuple de reprendre ce qu’on lui a volé : sa souveraineté, sa sûreté, son territoire.

Il serait préférable que la république rende tout ça volontairement, sans heurts.

Parce que depuis 496, rien n’a jamais arrêté le peuple de France.

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