L’intervention du LR Jeanbrun qui a fait grand bruit dans les réseaux cette semaine, dans laquelle il argumente contre la préférence nationale dans l’attribution des logements sociaux en utilisant des arguments choisis pour faire pleurer dans les chaumières, est une conséquence directe de la spirale des lâchetés immigrationistes de ces dernières décennies.
Vincent Jeanbrun argumente que lorsqu’on a un cancer, on ne s’occupe plus de connaître la généalogie du médecin qui vous soigne, et l’on est bien heureux que ledit médecin, étranger, puisse bénéficier d’un logement à proximité de l’hôpital.
Accessoirement, Jeanbrun fait un amalgame volontaire entre la nationalité et la généalogie, alors que depuis des siècles, un Français est… un Français, peu importe son sang. Il essaie là de faire passer les promoteurs de la préférence nationale pour des ordures racistes. Une vieille habitude à gauche. On y était moins habitué à « droite ».
Mais revenons aux lâchetés. Et prenons le cas cité par Jeanbrun, pour remonter le fil, étape par étape.
Oui, il y a beaucoup de médecins étrangers en France.
Pourquoi ? Parce qu’être médecin est devenu un enfer en France et que les Français ne sont plus attirés par ce job.
Pourquoi ? Parce que des populations qui ne maîtrisent pas les règles de bienséance et de comportement social normal agressent chaque jour des personnels de santé, souvent verbalement, parfois physiquement, et que cette profession est devenue dangereuse.
Pourquoi ? Parce qu’on a importé en France (ou laissé entrer et s’y maintenir, ce qui revient au même) des populations qui – restons polis – n’avaient pas vocations à y venir ni encore moins à y rester.
Il faut donc revenir à la genèse du problème. L’immigration.
Rappelons d’ailleurs à ce sujet que… 49% des immigrés africains sont en logements sociaux et 44% de leurs descendants aussi ! Combien sont médecins ?

Une graphique de @Marc_Vanguard qu’il est fort conseillé de suivre sur X.