Elle était cliente de la Société générale depuis dix ans. Alors qu’elle n’affiche aucune difficulté financière, Julie Goislard s’est vu signifier la fermeture de ses comptes professionnel et personnel… ainsi que ceux de son compagnon et de l’une de ses filles, raconte « Le Parisien ». Une décision qui pourrait être liée aux messages Twitter de la libraire. Au mois d’octobre, sur les réseaux sociaux, elle a posté des messages pour interpeller son agence. Citée par « Le Parisien », la libraire raconte avoir été contactée directement par l’établissement bancaire à la suite de ses messages sur Twitter. Des menaces qui seront mises à exécution. Julie Goislard reçoit un recommandé mettant fin à son contrat dans un délai légal de 60 jours. L’agence bancaire refuse de commenter cette décision et évoque « la confidentialité du secret bancaire ».

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