Trump prouve qu’expulser les clandestins, c’est possible !

Shealah Craighead OFFICIAL WHITE HOUSE PHOTO / Flickr / Creative Commons

Aux États-Unis, depuis janvier, la machine à expulser tourne à plein régime : plus de 100.000 étrangers en situation irrégulière déjà interpellés. Les centres de rétention sont pleins à craquer, les camps improvisés surgissent jusque dans les marais de Floride, et les ONG s’agitent pour dénoncer des conditions de détention « inhumaines ».

La presse européenne, Le Monde en tête, découvre soudain les réalités de l’immigration massive : des clandestins nombreux, pour beaucoup sans antécédents, mais aussi des délinquants, trafiquants de drogue, violeurs, membres de gangs sud-américains. Et pourtant, pas un mot sur la responsabilité des gouvernements précédents qui ont laissé pourrir la situation jusqu’à l’explosion.


La gauche morale pleure des larmes de crocodile alors que Trump applique exactement ce qu’il avait promis : faire respecter la loi, rétablir l’autorité de l’État, expulser ceux qui n’ont pas le droit de rester. Cela s’appelle une politique de souveraineté, et elle a été validée par les urnes.

Bien sûr, tout n’est pas parfait. Les infrastructures débordent, les ratés existent, et quelques cas tragiques sont montés en épingle. Mais qui osera dire que l’Amérique peut continuer à accueillir, nourrir, loger et soigner des centaines de milliers de clandestins chaque année, pendant que les classes populaires américaines peinent à se loger, se soigner, ou envoyer leurs enfants dans une école décente ?

Donald Trump a pris un risque politique. Il l’assume. Là où tant de dirigeants européens tremblent à l’idée d’appliquer une OQTF, lui expulse par avion entier, sans états d’âme. Là où l’Europe subventionne les passeurs à travers ses ONG complices, lui ferme les frontières et mobilise l’armée. Et devinez quoi ? Ça fonctionne.

Oui, certains Américains, sondés dans leurs salons, commencent à trouver la politique un peu rude. Mais sur le terrain, dans les quartiers gangrénés par l’immigration illégale, dans les écoles débordées, dans les hôpitaux saturés, dans les prisons pleines à 40 % de détenus étrangers, qui osera dire que cette politique n’était pas devenue une nécessité vitale ?

Les États-Unis ont encore le luxe de choisir leur avenir. L’Europe, elle, a déjà perdu ce choix depuis longtemps. Et pendant que Trump construit des murs, l’Union européenne creuse sa tombe à coups de bons sentiments.

guest
7 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires


La lettre patriote