C’est la Suède qui a lancé l’assaut contre 1700 ans d’art chrétien, en demandant l’interdiction complète de l’utilisation professionnelle du plomb. Or, c’est le plomb, profilé, flexible, qui sert à joindre les parties translucides de nos vitraux. On n’a pas trouvé d’autre solution depuis… le VIe siècle !

Nos confrères du Courrier Picard ont interrogé quelques artisans qui savent chaque années nos vitraux. L’un d’entre eux est désespéré :

Si elles sont interdites, alors on regardera les vitraux tomber et toutes nos églises auront des carreaux à la place, soupire Lucas Jouéo, 34 ans, qui répond depuis 2015 aux commandes des mairies. Le plomb profilé, flexible, n’est pas remplaçableNous pouvons lui donner à la main la forme voulue puis, après avoir fait les soudures à l’étain, chaque vitrail est reparti pour 250 ans.

Or, dans toutes les entreprises qui manipulent le plomb, le sang des employés est analysé tous les ans… et les résultats sont excellents !

La Suède, microscopique pays bien plus déchristianisé que le sud de l’Europe, ne cesse de semer divers poisons en Europe : récemment ce fut Greta Thunberg, et désormais, une épée de Damoclès au dessus de nos cathédrales. Et si on sortait de ce carcan ? Vivement le Frexit.

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