L’avocat et enseignant en droit à l’université Paris I-Panthéon Sorbonne, Pierre Gentillet, pointe du doigt les dérives administratives françaises, qui permettent selon lui à des personnes atteintes psychologiquement de continuer de sévir, à l’image de l’homme qui a tué le prêtre Olivier Maire. Il regrette la lourdeur administrative et le manque d’applications des peines qui ralentissent le processus démocratique en France.
«Seule une obligation de quitter le territoire français sur cinq est exécutée»

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