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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
75.050 euros de dépenses en quatre ans, pour garnir ses armoires de Dior, Burberry ou Bompard, pendant que des milliers de Parisiens dorment dehors, que les rues sentent l’urine et que les ordures s’amoncellent.
Si un référendum sur l’immigration avait lieu demain, il tournerait au plébiscite pour la fermeture des frontières et la priorité nationale. La classe politique ne redoute pas la question, elle redoute la réponse.
Quatre jours à peine après son installation à Matignon, Sébastien Lecornu donne le ton : celui du recul.
Marine Le Pen désigne les vraies sources du déficit : les flux migratoires incontrôlés, les cotisations françaises versées à Bruxelles, et les rentes d’un appareil d’État devenu obèse.
Villepin n’a plus d’armée, plus de parti, plus de peuple. Alors il mord.
Repose en Dieu, Charlie, ton combat est terminé. Le nôtre ne fait que commencer.
Mélenchon se rêvait en nouveau Robespierre. Il n’est plus qu’un Don Quichotte criant sur des moulins à vent.