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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Cette dérive-là, tôt ou tard, frappera au-delà de Sarkozy. Elle frappera tous ceux qui, un jour, auront le malheur de se trouver dans la ligne de mire.
Ce procès Sarkozy ressemble moins à une décision de droit qu’à une revanche de corps. Une revanche longuement mûrie par une profession blessée.
Les réactions à la lourde condamnation reçue par Nicolas Sarkozy en première instance sont nombreuses et variées. Mais vous, qu’en pensez-vous ?
La vraie humiliation, en vérité, n’est pas celle de Nicolas Sarkozy. C’est celle d’une justice française devenue spectacle politique.
Relaxe sur la corruption, relaxe sur le financement illégal de campagne, relaxe sur le recel de fonds publics libyens… mais condamnation tout de même. Pourquoi ?
La mécanique est connue : lorsqu’il s’agit de Nicolas Sarkozy, la justice française applique une règle simple – la présomption de culpabilité.
Le procès qui s’ouvre à Paris n’est pas seulement celui d’un multirécidiviste centrafricain, violeur sous OQTF, c’est aussi celui d’un État défaillant.