Chaque jour, recevez gratuitement nos informations dans votre boite mail.
Votre opinion, votre expérience et vos reflexions nous intéressent.
Soutenez La Lettre Patriote à partir de 7 euros par mois !
Publicité
Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
La guerre numérique n’est plus une menace théorique : elle est quotidienne, silencieuse, et nationale.
Emmanuel Macron, toujours chef de l’État, se lève devant le Forum de la Paix et annonce, sans vergogne, sa nouvelle obsession.
Grokipedia, c’est une gifle à cette ère du “consensus obligatoire”. C’est une provocation adressée à la caste médiatique mondiale, qui s’était autoproclamée gardienne du vrai.
Au fond, la question n’est pas Brigitte Macron. La question est de savoir si l’État, déjà fragilisé par ses dérives, doit encore s’abîmer dans une bataille impossible contre Internet.
Les géants du numérique se sont révélés pour ce qu’ils sont : non pas des forums ouverts, mais des bras armés idéologiques.
Bruxelles a offert nos vies privées. Washington en a désormais les clés.
Si la justice donnait raison à Londres, cela ouvrirait la voie à des demandes similaires d’autres États, qu’ils soient démocratiques ou autoritaires.