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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Combien de réseaux semblables continuent d’opérer en Algérie, au Maroc, en Tunisie ou en Libye, pendant que Bruxelles ferme les yeux ?
Comme à leur habitude, Bruxelles et les États européens n’ont rien anticipé. Résultat : des entreprises européennes qui, dès lundi, verront leurs échanges transatlantiques bloqués.
Si nous voulons voir un jour une université française détrôner Harvard, il faudra autre chose que des réformes cosmétiques et des slogans ministériels.
Lundi matin, un contrôleur du Centre en route de la navigation aérienne (CRNA) Nord, à Athis-Mons, a glissé un message politique dans ses échanges radio avec l’équipage d’un vol El Al, compagnie nationale israélienne.
Les Britanniques, eux, ont choisi : ils préfèrent protéger leurs citoyens plutôt que le confort judiciaire des délinquants venus d’ailleurs.
La France reste un marché important, mais la politique fiscale actuelle transforme cet atout en handicap. Et l’on pourra difficilement prétendre ne pas avoir été prévenu.
Dans un contexte de relations franco-algériennes déjà tendues, cette affaire pourrait bien marquer un tournant.