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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Vouloir sauver les finances publiques sans revoir la politique migratoire, c’est comme écoper un navire percé en refusant de regarder la voie d’eau. Les Français l’ont compris. Le Sénat, manifestement, non.
Ces dernières années, des milliers de salariés se sont installés dans leur salon, leur cuisine ou leur maison de campagne, persuadés d’avoir échappé à l’oppression managériale. Mais voilà : les vacances sont terminées.
Jamais, depuis 1996, le taux de pauvreté n’avait été aussi élevé en France.
L’affaire n’a rien d’un accident isolé. Depuis 2020, les signalements s’accumulent, les plaintes aussi.
Sous couvert d’équité, c’est une mécanique bien connue que la présidente de l’Assemblée nationale vient d’actionner : faire les poches de ceux qui ont travaillé toute leur vie, épargné, transmis ou simplement refusé de dépendre de l’État.
Le rapport remis en mai à l’exécutif propose de raboter les réductions fiscales accordées aux dons, avec pour justification les économies budgétaires. Mais l’idée sous-jacente, elle, est beaucoup plus perverse.
Un véritable labyrinthe bureaucratique, financé à prix d’or… avec votre argent.