Régulariser l’illégalité : le délire de Najat Vallaud-Belkacem

DR

On croyait avoir tout vu. On croyait que le cynisme politique avait touché le fond. C’était sans compter sur Najat Vallaud-Belkacem. L’ancienne ministre socialiste, recyclée en présidente de France terre d’asile, vient de révéler son plan magique : régulariser 250.000 clandestins pour enrichir la France. Oui, vous avez bien lu : plus on trahit la loi, plus on fait entrer d’argent dans les caisses de l’État.
C’est la France de 2025 : l’inversion totale des valeurs.

Pour Najat, les frontières sont un caprice, la souveraineté un gros mot, et la France une sorte d’hôtel ouvert 24h/24 où chacun peut venir se servir au buffet. Elle prétend même que mettre fin à la lutte contre l’immigration illégale rapporterait 3,3 milliards d’euros. Autrement dit : plus on se laisse envahir, plus on s’enrichit. C’est le capitalisme du chaos, la start-up nation de la reddition.


Et elle appelle ça une « politique migratoire humaine et efficace ».
Efficace pour qui ? Pour les trafiquants de passeurs ? Pour les associations subventionnées qui prospèrent sur la misère importée ? Pour les ministres à la retraite recyclés dans le business humanitaire ?
Cette gauche n’aide pas les migrants : elle vit d’eux. Elle en fait un fonds de commerce, une rente morale, une industrie de la culpabilité.

Ce discours serait risible s’il n’était pas criminel.
En réalité, chaque clandestin régularisé, c’est une chaîne de dépenses nouvelles : santé, logement, éducation, aides sociales, sécurité. Ce sont des milliards qui s’évaporent — et une cohésion nationale qui se dissout.

Pendant ce temps, la France crève. Les agriculteurs se pendent dans leurs granges, les infirmières fuient l’hôpital public, les familles de classe moyenne ne bouclent plus leurs fins de mois. Mais Najat nous explique que le salut viendra… des sans-papiers.

L’idéologie a remplacé la raison, et le fanatisme progressiste a remplacé la lucidité.

Ce que propose Najat Vallaud-Belkacem, c’est une prime à l’illégalité. C’est un crachat au visage de tous ceux qui respectent la loi. Une gifle donnée à ceux qui, eux, payent leurs impôts et se font matraquer par la bureaucratie pendant que d’autres franchissent les frontières comme on traverse la rue.

Mais qu’attendre d’une pseudo-élite qui ne croit plus en la France, voire parfois la haïssent ?
Ces gens ne gouvernent plus un pays : ils gèrent une zone d’accueil.
Ils ont troqué la République contre un camp humanitaire à ciel ouvert.

Ce projet n’est pas une réforme : c’est une reddition.
Une reddition morale, sociale et nationale.
La gauche ne construit plus rien : elle s’excuse, elle s’agenouille, elle implore qu’on l’aime encore pendant qu’elle brûle le drapeau.

Et demain, quand les services publics seront au sol, quand la dette aura mis à bas le pays, quand les quartiers entiers vivent sous la charia, Najat et ses amis viendront encore expliquer que “nous n’avons pas été assez ouverts”.

La vérité, c’est qu’ils haïssent ce pays tel qu’il s’est construit. Ils veulent le dissoudre dans le multiculturalisme comme on jette un comprimé dans l’eau pour qu’il disparaisse.

Qu’ils le sachent : la France n’est pas à vendre.
Pas à Najat, pas à France terre d’asile, pas à ceux qui rêvent d’en faire un terrain vague mondialiste.
Ce pays vaut mieux que leur démission.
Et il leur survivra.

guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires


La lettre patriote