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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Relaxe sur la corruption, relaxe sur le financement illégal de campagne, relaxe sur le recel de fonds publics libyens… mais condamnation tout de même. Pourquoi ?
La mécanique est connue : lorsqu’il s’agit de Nicolas Sarkozy, la justice française applique une règle simple – la présomption de culpabilité.
Derrière les sourires diplomatiques échangés à Beauvau, chacun sait que la guerre des places ne fait que commencer.
Sarkozy condamné, donc déshonoré ? La République n’a plus de mémoire, plus de mesure, mais toujours une machine à humilier.
Les juges ont enclenché une mécanique politique que plus personne ne pourra arrêter.
Le PNF justifie sa sévérité par la mise au jour, selon lui, d’un « tableau très sombre d’une partie de notre République ».
Emmanuel Macron, oubliant que la république n’est pas propice à ce genre d’aspiration, tente de laisser une trace de son passage dans le grand livre de l’Histoire de France.