Paris dans le rouge : Hidalgo laisse derrière elle une capitale ruinée

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Il fallait bien que la vérité éclate au grand jour : la Cour régionale des comptes vient de dresser un portrait accablant des finances parisiennes. « Situation financière dégradée », « recours excessif à l’emprunt », « dette insoutenable »… autant de formules pudiques qui cachent en réalité un gouffre creusé par Anne Hidalgo et son équipe.

Depuis des années, la maire socialiste a transformé l’Hôtel de Ville en pompe à fric pour financer son clientélisme, ses projets idéologiques et ses adjoints pléthoriques. Résultat : Paris affiche un ratio de désendettement théorique de… 32 ans. Pire encore : si l’on additionne les loyers capitalisés, on grimpe à 39 ans ! Autrement dit, la capitale vit à crédit, comme un ménage surendetté qui aurait maxé toutes ses cartes bancaires.


Les magistrats soulignent aussi la flambée des dépenses de fonctionnement, plus rapides que les recettes. Autrement dit, Paris dépense plus qu’elle ne gagne – et ce malgré une explosion de la taxe foncière. Hidalgo avait juré qu’elle ne toucherait pas aux impôts ? Mensonge : les Parisiens ont vu leur feuille s’alourdir, non pas pour investir, mais pour continuer à payer les frais de fonctionnement d’une mairie obèse.

Et que dire de la masse salariale ? Cabinets pléthoriques, adjoints par dizaines, effectifs comparables à ceux d’un ministère… Paris vit au rythme de la cigale, sans se soucier de demain. Les comparaisons avec Lyon ou Marseille sont cruelles : rapportées au nombre d’habitants, ce sont les dépenses parisiennes qui explosent.

Évidemment, Hidalgo et ses lieutenants crient au complot, parlent d’un rapport « bâclé » et accusent l’État de tous les maux. Mais les chiffres sont là, implacables : la capitale est en quasi-faillite. Voilà l’héritage de l’idéologie socialiste : des rues sales, des loyers qui flambent, l’insécurité, et maintenant une dette qui hypothèque l’avenir des Parisiens pour plusieurs décennies.

En 2026, il faudra bien choisir : continuer avec une équipe qui a transformé Paris en Athènes avant la banqueroute, ou remettre enfin de l’ordre dans les comptes de la plus belle ville du monde.

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