C’est peu de dire que l’ambiance est électrique. Et aussi très politique. Jamais dans l’Histoire récente l’Église n’a autant été divisée entre les progressistes (qui ont tenu le pouvoir pendant les années François) et les conservateurs, qui tentent un retour aux affaires.

Partout on nous raconte que le décès de François a été la source d’un énorme « OUF ! » de soulagement, tant son règne aura été celui d’un dictateur, n’écoutant personne et ne s’entourant que de fades thuriféraires.

L’instant est donc grave pour l’Église, qui pourrait retomber dans les mains de la gauche, représentée par le Cardinal Parolin ou le Cardinal Tagle, tous deux héritiers de Bergoglio à différents titres. Il faut donc que les hommes autour du Cardinal Burke, du Cardinal Sarah et du Cardinal Pizzaballa soient à la hauteur de l’enjeu et parviennent à barrer la route à ceux qui condamnent l’Église à la déliquescence.

Nous vous raconterons ce soir ce qui se joue en ce moment.