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Mohamed Ben Zahra, 25 ans, a exigé avec insistance à changer de cellule parce que le comportement de son codétenu n’était à son goût pas compatible avec sa pratique rigoriste de sa religion.

Il n’avait pas apprécié que le responsable adjoint de la maison d’arrêt, numéro 2 du centre pénitentiaire du Pontet, ne cède pas à ses demandes répétées. D’autant que ce n’était pas la première en la matière.

À cinq jours de la date de sa sortie de prison, le tribunal prononce une peine de dix mois de prison supplémentaires, assortie d’un maintien en détention. Bingo !

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