«Ce serait absurde de ne pas vouloir étudier un fait social. Si c’est une illusion, il faut étudier l’illusion et regarder si cela en est une. Pour ma part je le vois comme un fait social indubitable», a affirmé jean-Michel Blanquer sur BFMTV, estimant que «certains essayent toujours de minimiser ce projet politique».

«C’est un phénomène qu’il faut regarder en face», a souligné le ministre de l’Éducation, citant les exemples d’ateliers «non mixtes» organisés par le syndicat Sud Education 93 en 2017 et l’interruption d’une représentation du poète antique Eschyle, interrompue «par des activistes» en 2019 à la Sorbonne.

Selon Jean-Michel Blanquer, les «extrémistes» islamistes «trouvent parfois des complices dans certains milieux d’extrême gauche». «Quand vous avez Jean-Luc Mélenchon qui participe à une manifestation du CCIF, où il y avait des islamistes radicaux, [il] tombe dans l’islamo-gauchisme sans aucun doute», a-t-il estimé.

Print Friendly, PDF & Email