Le Danemark sonne le tocsin : femmes enrôlées, armée mobilisée… et la France ?

Photo : John

Pendant que la France se perd en débats sur les toilettes non genrées et les concours d’écriture inclusive, le Danemark, lui, arme ses filles. Le 1er juillet, Copenhague a décidé d’élargir le service militaire obligatoire aux femmes. Oui, vous avez bien lu : au nom de la survie nationale et face à la menace russe, les jeunes Danoises seront désormais appelées, comme les garçons, à passer des tests et à tirer au sort pour rejoindre les rangs. Le temps des états d’âme est révolu. Place à l’état d’urgence.

Quand le réel reprend ses droits

Le gouvernement danois ne cache rien : cette réforme n’a rien à voir avec la lubie égalitaire des salons woke. Il ne s’agit pas d’un quota à remplir ou d’un geste symbolique pour la parité. Non. Il s’agit de défendre le pays, de former une armée crédible, de répondre à une guerre qui s’annonce. Et pour cela, hommes et femmes sont mobilisés. À ceux qui voyaient encore la Scandinavie comme un havre de paix progressiste, la gifle est brutale : le monde réel revient à grands pas.


Triple alerte : démographie, dépendance, désarmement

Le Danemark, six millions d’habitants, a compris ce que tant de pays d’Europe de l’Ouest refusent de voir : on ne défend pas un peuple avec des tweets, des sommets de Bruxelles et des cellules psychologiques. On le défend avec des soldats. Or, la vérité est là : après des années de paix illusoire sous parapluie américain, les armées européennes sont exsangues. Le Danemark, lucide, triple la durée du service militaire et prévoit une augmentation de 40 % de ses recrues.

Et la France dans tout ça ?

Pendant que le Danemark appelle ses jeunes femmes à l’uniforme, que fait la France ? Elle débat de l’instauration du « pass culture » pour les 11-13 ans. Elle rêve d’une armée « écologique », « inclusive » et « apaisée », comme si un char pouvait être végétarien et un champ de bataille non-binaire. Le service national universel est un gadget, la conscription un tabou, et l’idée même de défense nationale une ringardise pour technocrates patriotes.

Préparer la guerre pour éviter la défaite

Il faut regarder les choses en face : la guerre est revenue en Europe. L’illusion pacifiste ne tient plus. Le Danemark l’a compris. La Finlande l’a compris. L’Estonie le vit déjà. Mais en France, on continue de couper dans les budgets de la Défense, de mépriser les militaires, et de s’indigner à la moindre allusion virile à l’autorité ou à l’effort.

Demain, qui défendra nos frontières ?

Le Danemark appelle ses filles. Peut-être que nous devrions, nous aussi, rappeler nos garçons — et cesser de rêver. L’Histoire n’attend pas les consensus. Elle fauche les peuples endormis.

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