Dans le silence assourdissant de tant de haut-fonctionnaires paralysés par la peur du qu’en-dira-t-on, le préfet Alexandre Brugère, lui, agit. Et frappe. Fort. Dans les Hauts-de-Seine, cet ancien bras droit de Darmanin au ministère de l’Intérieur applique enfin la politique que tant de Français réclament depuis des années : expulser sans états d’âme les fichés S, les islamistes radicaux, les étrangers violents, les clandestins perturbateurs.
En un seul mois de juillet, quatre profils lourdement fichés pour radicalisation ont été renvoyés chez eux. Et pas des seconds couteaux : un ex-combattant de Daech devenu émir en Syrie, un autre condamné pour association terroriste, un trafiquant marocain radicalisé, un Syrien visionneur compulsif de vidéos djihadistes… Des hommes qui, jusqu’ici, erraient en toute quiétude sur notre sol. Et que l’État, tétanisé, n’osait pas expulser.
Mais là où d’autres baissent les bras face aux recours juridiques sans fin, aux mutilations destinées à émouvoir les juges, le préfet Brugère tient bon. Il applique le droit avec fermeté, sans céder au chantage. L’un des expulsés, Mohamed Fahem, était même allé jusqu’à s’entailler le torse pour tenter de retarder son départ. En vain. L’avion a décollé. La France s’est allégée d’un danger.
Ce n’est pas tout. Outre les islamistes, ce sont 70 clandestins supplémentaires qui ont été expulsés en juillet, pour des troubles à l’ordre public. Depuis janvier, 370 personnes en situation irrégulière ont été renvoyées dans leur pays, soit une hausse spectaculaire de plus de 60 % par rapport à 2024. Ajoutez à cela 98 retraits ou refus de titres de séjour, 52 réductions de durée de séjour… Enfin un État qui montre les dents.
Mais pourquoi cette efficacité soudaine ? Parce que Brugère assume le courage de désigner nommément les ennemis de l’intérieur, de rendre visible leur présence, de briser l’omerta. Il ne se contente pas de phrases creuses sur le « vivre-ensemble » : il dresse la carte des mosquées à surveiller, il traque les faux réfugiés, il refuse que l’ordre public soit menacé par ceux qui n’ont rien à faire sur notre territoire.
La République a besoin de préfets comme lui. Des hommes debout, loyaux à la France et non aux dogmes de l’angélisme. Des hommes qui comprennent que le respect du droit commence par le respect du peuple : celui qui en a assez de voir des islamistes se pavaner dans les rues pendant que les honnêtes citoyens sont sommés de se taire.
Espérons que d’autres suivront. Car la France n’a plus le luxe d’attendre.