Ils ont assassiné Charlie Kirk

Photo : Openverse

On pouvait être d’accord ou non avec lui, mais il ne laissait jamais indifférent. Charlie Kirk, fondateur de Turning Point USA, était devenu en quelques années une figure centrale du conservatisme américain. Plus qu’un simple militant, il avait inventé un format redoutable : les happenings Prove Me Wrong.

Le principe ? Une table, une pancarte provocatrice affichant une idée évidente (sauf pour un gauchiste) — « Les frontières sauvent des vies », « Il n’existe que deux sexes », « Le socialisme tue » — et une invitation claire : « Venez me contredire ». Face aux étudiants gavés d’idéologie progressiste, Kirk incarnait la confiance tranquille du réel. Il écoutait, il argumentait, il démontait avec patience et précision les certitudes d’une génération endoctrinée. Ses vidéos faisaient des millions de vues, et pour cause : elles révélaient le vide abyssal des pseudo-arguments de la gauche universitaire.


C’est précisément ce qu’on ne lui a jamais pardonné. Mercredi, à l’université d’Utah Valley, alors qu’il participait à un de ces événements, une balle est venue lui sectionner la carotide. Il n’a pas survécu. Une mort atroce, d’autant plus ignoble qu’elle vise non seulement un homme mais aussi une méthode : celle du débat, du verbe, de la confrontation pacifique des idées.

Mais depuis 236 ans, ce scénario se répète. Quand la gauche ne peut pas convaincre, elle choisit d’éliminer. En 1789, la Révolution française s’est proclamée « lumière » tout en inondant l’Europe de sang et de guillotines. Au XXᵉ siècle, les communistes ont semé partout la mort : goulags, famines organisées, purges, camps. Et aujourd’hui, l’extrême-gauche continue sur cette voie, aux États-Unis comme ailleurs. Le terrorisme intellectuel ne lui suffit plus ; il faut désormais revenir au terrorisme tout court.

Charlie Kirk est tombé victime de ce vieux réflexe de haine. Une haine qui se nourrit de slogans mais qui, incapable de répondre au réel, préfère le réduire au silence. On peut tout reprocher à la gauche, sauf d’avoir changé : sa constante est l’idéologie jusqu’à la mort.

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La lettre patriote