Il est minuit moins une pour la France

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Il n’y a plus de temps à perdre. Chaque jour qui passe enfonce un peu plus notre pays dans la décadence et le chaos. La France, jadis modèle de civilisation, s’effondre à vue d’œil — et ceux qui devraient la défendre n’ont plus ni courage ni lucidité. Pendant que les technocrates jouent les pompiers pyromanes, les Français, eux, voient leur pays leur glisser entre les doigts.

Tout part à vau-l’eau. L’école n’instruit plus, elle endoctrine. Les enfants ne savent plus lire ni compter, mais on leur apprend à douter de leur identité et de leur sexe. L’hôpital se meurt sous le poids de la bureaucratie et des déserts médicaux, pendant que les soignants fuient un système qu’ils ne reconnaissent plus. Les campagnes se vident, les villes s’enflamment, et l’État reste impuissant — ou complice.


La justice ne rend plus justice, elle rend des décisions politiques. Les voyous sont dehors, les honnêtes gens sont convoqués pour une phrase de trop. L’autorité a disparu, remplacée par un laxisme qui fait honte à la République. On décapite un professeur, on massacre une enfant, on poignarde un passant — et le lendemain, la machine médiatique s’émeut de la “stigmatisation”.

Nos frontières sont grandes ouvertes, nos forces de l’ordre abandonnées, nos traditions tournées en dérision. La France du mérite a cédé la place à la France des quotas et de la repentance. On détruit tout : la famille, l’école, la foi, la langue. On réécrit notre histoire pour faire honte à ceux qui ont bâti la nation. Et dans ce vacarme idéologique, il ne reste que le peuple — seul, épuisé, méprisé.

La droite dite « républicaine » s’est couchée depuis longtemps. Elle a renoncé, elle a peur des mots, peur des journalistes, peur du réel. Alors oui, il ne reste plus qu’une seule issue : que la droite nationale prenne enfin les rênes du pays. Non par revanche, mais par devoir. Non pour exclure, mais pour reconstruire.

Il faut restaurer l’autorité, fermer les frontières, protéger nos enfants, rétablir la justice et la fierté nationale. Il faut remettre la France debout, redonner sens à son école, à son armée, à sa culture, à sa langue. Il faut cesser de s’excuser d’exister.

Certains disent encore qu’il est “trop tôt”. Mais ceux qui vivent dans les quartiers livrés à la violence savent qu’il est déjà bien tard. Ceux qui peinent à boucler leurs fins de mois, ceux qui n’osent plus sortir le soir, ceux qui voient leur pays leur échapper n’ont plus le luxe d’attendre.

Le choix n’est plus entre la gauche et la droite : il est entre la survie et l’effacement.

La France n’a jamais été vaincue quand ses enfants se sont levés pour elle.

Il est temps que cela recommence.

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La lettre patriote