Il n’a pas suffi que le corps de cette pauvre femme soit exploité par son ordure de mari qui l’offrait, inerte, aux sévices d’hommes qui n’étaient plus que des bêtes. Maintenant que le procès de ses tortionnaires est terminé, c’est désormais son doit à l’image qui est violé. Son image, son visage, sont utilisés sans aucune pudeur par la quasi totalité des partis politiques plutôt sur la gauche de l’échiquier. Une véritable horreur. Quand laissera-t-on cette femme, son corps, son visage, en paix ?