Photo : Valérie Lafont, La Lettre Patriote, tous droits réservés
Photo : Valérie Lafont, La Lettre Patriote, tous droits réservés

Saint-Denis, nécropole de nos rois, princes, princesses et chevaliers, a encore subi un outrage découvert ce mardi. Après la profanation commise par le très soumis Eric Coquerel en mars 2018, après les insultes proférées par l’inculte Clémentine Autain, (« il n’y a rien à profaner [à Saint-Denis]. On a tout mis à la fosse commune en 1793 »), c’est au tour de l’orgue et des vitraux de se retrouver la cible de vandales.

C’est Le Parisien qui nous l’apprend aujourd’hui.

C’est l’organiste qui a découvert, dimanche matin, les dégradations. Alors qu’il s’installait devant son imposant instrument avant la messe, il a constaté que les deux portes du buffet avaient été fracturées. Le moteur a également été endommagé. « Les dégradations sont majeures », déplore la conservatrice de la basilique.

Le Parisien

En fait, selon les premières estimations, un intrus se serait retrouvé coincé dans la machinerie de l’orgue, et pour en sortir, il a endommagé le moteur et cassé des portes.

Deux vitraux de la rose sud – en cours de restauration -, datant du XIXème siècle, qui font partie des pièces retravaillées par Viollet le Duc, ont également été brisés. La bonne nouvelle, c’est que le vandale s’est blessé pendant ses opérations de destruction, et qu’on est donc en possession de son ADN.

Nous attendons avec impatience de découvrir son identité.

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