Sur notre canal Telegram, nous vous avons demandé si le résultat des législatives vous avait démotivés. À 71%, vous avez répondu qu’au contraire, la progression fulgurante du RN vous motivait pour continuer la lutte. Seuls 15% d’entre vous ont semble-t-il aujourd’hui envie d’abandonner, et les 14% restants sont encore dans l’expectative.
Bien sûr, nous le savons, le système à deux tours a été conçu précisément pour faire taire les voix nationales et favoriser les combines de la gauche. Néanmoins, ce n’est pas une fatalité.
Deux futurs s’offrent à nous :
Tout d’abord, si l’exécutif constate de manière répétée et de plus en plus menaçante une poussée de l’extrême gauche la plus sale, il est possible – on en parlait dès hier soir dans les couloirs du pouvoir – que le mode de scrutin soit modifié et qu’on abandonne ce système à deux tours, véritable prime aux perdants du premier tour. Dans ce cas, l’extrême gauche serait réduite à portion congrue – la réalité de ce qu’elle représente en France.
Mais il existe une autre possibilité. Si rien n’est fait pour juguler l’immigration et l’ensauvagement de la société (et bien sûr, absolument rien ne sera fait, bien au contraire…), alors le vote patriote ne fera qu’augmenter. Augmenter tellement qu’à un moment, même le suffrage à deux tours ne pourra plus rien faire pour endiguer la vague. Ce n’est pas un vœu, c’est une certitude.
Mais dans quel état sera alors le pays ? Il est déjà déchiré, il saigne, et des banderilles pleuvent de tout côté, plantées par tous les ennemis de la France. Le pays court à la catastrophe. Oui, il y avait un petit côté « dernière chance » dans ces élections législatives. Il faut désormais préparer la suite, sans se disperser.
Les deux scrutins successifs ont permis de clarifier la situation à droite : le RN est désormais le pôle incontesté de la France patriote. Autour de lui s’agrègent les LR qui étaient vraiment de droite, et de lui s’éloignent ceux qui n’avaient de droite que le nom. Il ne reste plus qu’une chose à faire : convaincre, de proche en proche, chacun de vos amis, membres de la famille, etc. qui sont prêts à basculer, mais encore indécis.
Nous y prendrons notre part.
Le combat est loin d’être terminé, mais notre puissance ne fait que croître.
À la fin, c’est toujours la France éternelle qui gagne.
En avant !