En Allemagne, Mohammed détrône Michael : quand l’assistanat devient le visage de l’immigration

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Les chiffres sont tombés et ils sont implacables. En Allemagne, le prénom le plus fréquent parmi les bénéficiaires de l’allocation citoyenne (Bürgergeld, l’équivalent du RSA) n’est plus Michael, Andreas ou Thomas… mais Mohammed, toutes variantes confondues. Un symbole glaçant de la mutation démographique et sociale que traverse le pays, et dont les contribuables allemands payent la facture.

L’islamisation statistique de l’assistanat

Selon les données officielles, 39.280 personnes prénommées Mohammed (ou ses déclinaisons : Mohamed, Muhammad, Mahamadou, etc.) figurent parmi les allocataires, loin devant Michael (24.660). Dans le top 10, on retrouve aussi Ahmad et Ali. En clair : trois prénoms musulmans dominent aujourd’hui la liste des bénéficiaires de l’aide sociale en Allemagne. À eux seuls, ils incarnent le basculement d’un système de solidarité conçu pour les travailleurs allemands précarisés, mais de plus en plus accaparé par une immigration de masse.


Une facture colossale pour les contribuables

À la fin de 2024, 5,42 millions de personnes touchaient le Bürgergeld. La moitié sont officiellement allemandes, l’autre moitié étrangères. Mais cette répartition est trompeuse : nombre de migrants ont acquis la nationalité et disparaissent derrière l’étiquette « Allemand », gonflant artificiellement les statistiques. Dans le détail, 52,8 % des Syriens et 46,7 % des Afghans vivant en Allemagne sont sous perfusion de l’aide sociale, et moins de 40 % seulement exercent un emploi déclaré. Voilà la réalité.

Pendant ce temps, près de la moitié du budget national du logement social (17,68 milliards d’euros) est engloutie pour loger des étrangers. Les Allemands, eux, voient leur facture énergétique flamber, leurs retraites stagner et leur sécurité décliner.

Le système social détourné

Les passeurs et les filières migratoires ne s’y trompent pas : l’Allemagne est un eldorado pour qui veut bénéficier de prestations sans contrepartie. Les agences pour l’emploi vont jusqu’à publier des pages spéciales pour « les personnes venant de l’étranger », vantant la prise en charge des frais de vie par l’État. Bref : on ne dissuade pas, on incite. On ne protège pas la solidarité nationale, on l’offre en pâture.

Les premiers frémissements de révolte politique

Même au sein de la CDU/CSU, on commence à reconnaître l’évidence. Mathias Middelberg, vice-président du groupe parlementaire, l’a admis : « 100 000 personnes de plus au travail au lieu de vivre de l’allocation citoyenne, c’est déjà des milliards d’économies chaque année. » Plus audacieux encore : deux administrateurs SPD (!) de Thuringe ont osé réclamer que les migrants non-européens reçoivent ces aides… sous forme de prêts remboursables, et non plus de droits acquis. Un simple début de bon sens.

Mohammed, prénom de l’avenir allemand ?

Au-delà des chiffres, le symbole est d’une puissance inouïe. Là où Michael et Thomas incarnaient la classe moyenne laborieuse d’hier, Mohammed et Ahmad représentent désormais l’image statistique de l’assistanat d’aujourd’hui. Une inversion que les élites voudraient cacher mais qui s’impose, brutale, dans les chiffres officiels.

L’assistanat massif des migrants n’est pas un accident : c’est la conséquence directe d’une politique d’immigration sans frontières, doublée d’un État-providence transformé en pompe aspirante. Les Allemands découvrent que leur solidarité nationale a changé de visage. Une question demeure : combien de temps accepteront-ils que leur pays devienne l’infirmerie sociale de l’immigration musulmane, pendant que leurs propres enfants héritent des dettes ?

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