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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
La classe dirigeante et médiatique persiste à détourner le débat vers d’autres priorités, comme si évoquer frontalement le djihadisme risquait de froisser les sensibilités.
Les marchés de Noël, lieux populaires, familiaux, festifs, deviennent chaque hiver des zones à hauts risques où les familles déambulent entre les stands en scrutant les angles morts comme sur un champ de bataille.
Sur l’île d’Oléron, on pleure, on parle de “folie meurtrière”. Mais cette folie a un nom, un cri, une bannière. Et tant que la République refusera de le reconnaître, elle sera condamnée à revivre ces scènes d’horreur, encore et encore, chaque fois un peu plus près du quotidien.
Cette affaire révèle à nouveau les fissures d’un État qui confond recrutement administratif et gestion de supermarché.
Avec ses menaces dignes des régimes qu’il prétend combattre, Jean-Luc Mélenchon démontre une chose : son projet n’est pas de gouverner la République, mais de la renverser.
Ils n’ont pas vingt ans. Parfois pas même quinze. Certains à peine douze. Ce sont les nouveaux visages du terrorisme islamiste en France.
À 74 ans, dit-on, il ne représenterait plus une menace. La belle affaire. Les morts de 1982, eux, n’ont pas vieilli.