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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
On culpabilise le Français moyen pour sa piscine gonflable ou son arrosage de géraniums, mais certaines incivilités sont devenues “compréhensibles”, pour ne pas dire tolérées.
On peut censurer des mots. Pas les larmes d’un père. Pas la peur d’un enfant.
Pas de poursuite pénale envisagée : l’auteur est trop jeune.
Chaleur, basses qui cognent, verres en plastique, urine dans les recoins, lacrymos dans les narines et coups de couteau à la clef : c’était encore une fois la grande symphonie du vivre-ensemble.
Ils sortaient armés chaque vendredi. Elias, 14 ans, n’est jamais rentré. Sa mère alerte, l’État tergiverse. Qui protège qui ?
Menacés, harcelés, visés par des tirs : à Besançon, les profs craquent. L’État, lui, continue à se boucher les yeux.
Nos enfants, nos parents, nos amis risquent de mourir faute d’un appareil qui aurait dû être là.