Ce samedi 26 juillet 2025, dans le silence sacré de l’église de la Madeleine, le plus intime et le plus sublime des mystères chrétiens — la sainte communion — a été brisé par l’irruption brutale de militants, venus non pour prier mais pour crier. Des slogans violents, mêlant accusations de génocide à Gaza et interpellations hostiles, ont fusé au moment précis où les fidèles recevaient le corps du Christ. Un choc. Une blessure. Une profanation.
Monseigneur Patrick Chauvet a dénonce auprès de nos confrères de CNEWS un acte prémédité : les fauteurs de trouble, mêlés à l’assemblée comme des loups dans la bergerie, ont attendu le sommet de la liturgie pour entrer en action. Ils n’ont pas visé un discours, ni une homélie, mais l’acte même par lequel les chrétiens entrent en communion avec le Christ. Le message est clair : ce n’est pas l’institution qu’ils visent, mais Dieu lui-même. Et face à cela, Monseigneur Chauvet ne tergiverse pas. Il l’annonce sur CNEWS : une plainte sera déposée.
— Salomé d'Erville (@taspaslesmoyens) July 27, 2025
À ceux qui invoquent le Proche-Orient pour légitimer ce saccage, rappelons ceci : on ne défend pas la justice par la profanation. On ne rend pas hommage aux morts en insultant les vivants dans leur foi.
Et surtout : on ne construit pas la paix sur des cris hurlés entre les cierges.
— Salomé d'Erville (@taspaslesmoyens) July 27, 2025
