Nous ne reproduirons pas ici les textes, articles, tweets, qui ont déferlé dès que Buckingham annonçait que les médecins s’inquiétaient pour la santé de la reine. Ils sont un torrent de boue. Un fleuve de haine. Tout ce que l’internet et les universités comptent de militants racistes anti-Blancs – et les « usual suspects » hexagonaux – ont cru bon de vomir sur Sa Majesté.

Elle est l’Oppresseur, la colonisatrice. « Pourquoi nous demande-t-on d’avoir de la compassion ? » Et je vous passe les tirades sur le « decorum » qui n’est là que « pour nous intimer l’ordre d’être poli » alors que « elle a génocide toutes nos familles ».

Bref, de la haine à l’état brut.

Un professeur d’une université américaine a même souhaité que la reine décède dans « des douleurs insoutenables ». Twitter a fini par virer le message.

La mise en lumière de peuples entiers qui nous haïssent et veulent notre disparition. Je leur souhaite bon courage. L’Histoire nous enseigne que l’Histoire ne nous enseigne jamais rien. Ils n’ont rien appris.

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