Charlie Kirk assassiné : quand la gauche américaine applaudit le meurtre d’un patriote

Illustration : LLP

Charlie Kirk n’est plus, mais il est devenu immortel.

Cet assassinat n’est pas un « fait divers ». Il est le fruit empoisonné d’années de haine déversée par la gauche américaine, ses médias, ses influenceurs et ses pseudo-intellectuels. On assassine un patriote chrétien et, au lieu de s’indigner, certains militants progressistes ricanent, justifient ou applaudissent. Voilà le vrai scandale : une partie du camp démocrate n’a même pas la décence de condamner sans ambiguïté ce crime.


La gauche morale complice

Donald Trump a eu le mérite de dire tout haut ce que beaucoup pensent : Charlie Kirk a été tué parce qu’il incarnait la liberté de parole, l’amour de Dieu et de son pays. Il a été abattu pour avoir refusé de se soumettre à la tyrannie intellectuelle du progressisme. Or, depuis son assassinat, combien d’universitaires, de journalistes et de figures de gauche ont expliqué que, « finalement », Kirk l’avait cherché ? Qu’il était « dangereux », « provocateur », et qu’en somme, son sort n’était pas si surprenant ?

C’est cela, la complicité morale. Ceux qui passent leur temps à traiter leurs adversaires de « fascistes » ou de « nazis » finissent par créer le climat dans lequel l’assassinat politique devient acceptable, voire désirable. Comme toujours, les donneurs de leçons, sûrs de leur « supériorité morale », se montrent incapables de condamner sans réserve la violence lorsqu’elle frappe un conservateur.

Turning Point USA devient un drapeau

Erika Kirk, la veuve du jeune martyr, a eu des paroles bouleversantes : elle a parlé de pardon, de foi et d’amour, rappelant l’enseignement du Christ. Mais déjà, Turning Point USA, le mouvement fondé par Charlie, s’érige en bannière de résistance. Ce n’est plus un simple réseau militant : c’est une croisade.

Trump, lui, ne se voile pas la face. Il promet châtiment, peine capitale pour l’assassin, et mesures de rétorsion contre les réseaux de l’extrême gauche qui, selon lui, encouragent indirectement ces passages à l’acte. Car il faut bien le dire : quand on répète que la parole conservatrice est une « violence », on légitime tôt ou tard la vraie violence.

La guerre culturelle à visage découvert

Charlie Kirk est mort, mais son nom restera comme celui d’un martyr de la liberté. Ceux qui pensaient faire taire sa voix l’ont amplifiée. Ceux qui ont versé son sang l’ont rendu immortel.

Et surtout, ils ont réveillé une Amérique conservatrice prête à livrer bataille. Car la gauche américaine ne veut pas débattre : elle veut censurer, interdire, effacer. Elle vient de prouver qu’elle est prête à tolérer la mort d’un adversaire politique. Face à cette barbarie idéologique, l’heure n’est plus aux compromis mous mais à la résistance frontale.

L’assassin a armé sa main. Mais c’est la gauche morale qui a armé son esprit.

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