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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Derrière la novlangue des technocrates, une réalité limpide : il s’agit d’organiser, à grande échelle, l’installation programmée de populations étrangères sur le continent européen.
Un cinéma moralisateur, élitiste, souvent militant, qui donne des leçons à un peuple qu’il méprise, tout en vivant grassement sur ses impôts. Les spectateurs se détournent, mais l’État continue d’arroser.
L’union, oui. Mais pas avec les rescapés d’un gouvernement Macron, pas avec ceux qui parlent de fermeté le matin et votent la soumission le soir.
Ce que les commentateurs de salon appellent « outrance » n’est rien d’autre que la mise en pratique d’une évidence diplomatique : on ne négocie pas avec ceux qui prennent des civils en otage, on les contraint.
La farce est terminée. La France a besoin d’un État, elle n’a plus qu’une mascarade.
Bienvenue dans l’art diplomatique à la française version Macron : tendre l’autre joue, puis dérouler le tapis rouge.
Derrière chaque statistique se cache une vie qui ne verra jamais le jour, un prénom qui ne sera jamais prononcé. Et un pays qui, peu à peu, s’éteint en se persuadant qu’il progresse.