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Écoutez Douce FranceLe meilleur de la chanson française de 1900 à nos jours.
Ce samedi à Londres n’était pas une simple manifestation. C’était un signal adressé à toute l’Europe.
« Le peuple va se soulever », « le gouvernement tremble déjà ». Résultat ? Un pétard mouillé.
Ce 10 septembre pourrait entrer dans les livres comme l’acte II des Gilets jaunes, revu et corrigé au prisme d’une défiance généralisée, sans tête, mais munie d’un algorithme viral. Et sans chef, donc sans responsabilité, l’onde de choc sera tout d’autant plus impossible à encadrer.
L’histoire retiendra peut-être cette image : un Premier ministre quittant l’Assemblée, la tête basse, tandis que ses adversaires rient aux éclats. Mais derrière la scène, c’est un pays entier qui sombre dans l’incertitude.
Les services de renseignement soupçonnent une implication active de militants d’ultragauche dans le mouvement, avec un risque de basculement vers des actions violentes.
Parfois, le bon sens tient en deux mots et en un peu de peinture.
La révélation a de quoi glacer le sang.