En 2015, alors que les réfugiés fuyant la guerre en Syrie affluaient en Europe, l’initiative de Viktor Orbán était perçue comme un nouveau “mur de la honte”. Mais les temps ont changé… Sept ans plus tard, “Complément d’enquête” a pu constater combien le dispositif “anti-migrants” du président nationaliste hongrois, s’est perfectionné… et a servi de modèle à de nombreux autres pays. En quelques années, 1.200 kilomètres de clôture ont été érigés aux portes de l’Europe. .
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Comme quoi, quand on veut se donner les moyens, on peut. Le mur est certainement moins coûteux que les conséquences de l’afflux de migrants, c’est donc à la portée financière de tous les pays.