La chancelière allemande, non contente d’avoir mis l’Europe dans l’état que l’on sait, suggère désormais (fortement) que l’Europe devrait avoir un siège (européen et unique) au Conseil de sécurité de l’ONU.

En des temps un peu plus nobles, les dernières propositions d’Angela Merkel auraient été considérés comme ce qu’elles sont : une déclaration de guerre à la France. Et la France y aurait répondu comme il se doit. Mais nous vivons désormais une époque beaucoup plus hypocrite, où les vraies guerres ne disent pas leur nom et l’où on appelle guerre n’importe quelle opération anti-terroriste.

Avant de rendre son tablier (enfin, nous continuons de l’espérer), la chancelière allemande veut parfaire son oeuvre de destruction de la France. C’est ainsi qu’elle soutient principalement deux propositions qui sont directement hostiles à notre pays.

En premier lieu, il s’agit d’obtenir pour l’Europe un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Cela ne peut se faire qu’au détriment du siège de la France, puisque le détenteur de l’autre siège – le Royaume Uni – quitte l’Europe.

En second lieu, la chancelière suggère l’abandon du parlement européen de Strasbourg, pour ne plus siéger que dans celui de Bruxelles.

Bref, c’est la guerre.

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