Macron à l’ONU offre une médaille diplomatique aux massacreurs du 7 octobre

Hier, à New York, Emmanuel Macron a franchi un cap : devant l’Assemblée générale de l’ONU, il a annoncé la reconnaissance officielle de l’État de Palestine par la France. Ses conseillers parlent d’« audace » et de « courage ». En réalité, c’est une reddition.

Quand l’Élysée reprend les slogans de l’extrême gauche

Depuis des mois, on entend dans les rues de Paris les mêmes refrains : « Israël assassin », « Palestine libre », « Intifada jusqu’à la victoire ». Hier, une partie de ces mots d’ordre ont pris corps dans la décision solitaire du chef de l’État. En choisissant ce calendrier, Emmanuel Macron s’aligne sur les revendications de l’extrême gauche française et donne raison à ceux qui, chaque semaine, brandissent drapeaux palestiniens et pancartes hostiles à Israël.


7 octobre 2023 : le grand oublié

Il y a moins de deux ans, le Hamas perpétrait le plus grand massacre de juifs depuis la Shoah : plus de 1 200 victimes civiles en Israël. Cet événement tragique, qui aurait dû vacciner l’Occident contre tout angélisme, est désormais relégué aux oubliettes. En reconnaissant un État dirigé par des structures qui glorifient ces crimes, Macron ne tend pas la main à la paix : il remet une médaille diplomatique aux bourreaux du 7 octobre.

La diplomatie de l’abaissement

On nous expliquera que cette décision est destinée à « relancer le processus de paix ». Mais quel processus, avec qui, et sur quelles bases ? Aucune contrepartie n’a été exigée. Aucune garantie de sécurité n’a été donnée à Israël. Ce geste unilatéral n’est rien d’autre qu’une prime à la terreur. Macron voulait sans doute entrer dans l’Histoire : il n’y laissera qu’une trace de faiblesse.

Une France isolée et discréditée

Pendant que les États-Unis et l’Allemagne maintiennent une ligne de fermeté, Paris choisit de flatter ses tribunes intérieures et de s’aligner sur le camp du renoncement. La diplomatie française, autrefois respectée, se retrouve aujourd’hui instrumentalisée par ceux qui applaudissent les pogroms du Hamas et rêvent de la disparition d’Israël.

Voilà la réalité : en croyant signer un « acte de paix », Emmanuel Macron aura signé un acte de soumission.

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