À force de nier la réalité, Anne Hidalgo a transformé Paris en laboratoire de l’insécurité. Les Halles en sont aujourd’hui la démonstration éclatante : un quartier central, touristique, familial, livré aux dealers, aux toxicomanes, aux importuns et aux voleurs. Le tout sous les yeux d’une mairie qui préfère se draper dans son idéologie plutôt que de rétablir l’ordre.
L’obsession idéologique plutôt que la sécurité
Que fait le maire de Paris ? Elle parade dans les salons, se rêve en grande prêtresse de la planète verte et s’achète des robes Dior sur ses frais de représentation. Pendant ce temps, les Parisiens doivent traverser chaque jour des zones de non-droit, éviter les jardins infestés de drogués, subir les vols et les agressions. Anne Hidalgo préfère les drapeaux et les projections politiques sur la tour Eiffel à la protection de ses administrés.
Les Halles comme symbole d’une capitale abandonnée
Les commerçants n’en peuvent plus. Les touristes découvrent, médusés, la face la plus sordide d’une capitale qu’on leur vend encore comme la « Ville Lumière ». Les familles fuient dès la tombée du jour, laissant place aux errances des toxicomanes et aux bandes qui s’installent tranquillement. Voilà le vrai bilan Hidalgo : un Paris qui se délite, une ville qui perd son âme, un centre qui se dégrade.
La mairie, incapable d’assumer son échec, préfère accuser « la société » ou « la pauvreté ». Mais chacun sait que cette situation est d’abord le fruit du laxisme idéologique. Plutôt que d’appuyer les forces de l’ordre, Anne Hidalgo les soupçonne. Plutôt que d’exiger la fermeté judiciaire, elle s’abrite derrière des discours compassionnels. Résultat : les Halles deviennent la caricature de son mandat — un espace où tout est permis, sauf la sécurité des honnêtes gens. Qu’attendre de quelqu’un qui célèbre le monstrueux Che Guevara ?
Paris humiliée, Hidalgo comptable
Ce n’est plus une simple erreur de gestion, c’est une faillite morale et politique. Les Halles illustrent ce que devient Paris sous Hidalgo : un décor de carte postale où les élus se pavanent, pendant que les habitants vivent l’abandon et la peur. Et ce désastre, c’est bien la responsabilité du maire et de son équipe.
Anne Hidalgo voulait laisser une trace dans l’histoire de Paris. Elle y parviendra sans doute, mais pas comme elle l’imaginait : son nom restera associé à l’insécurité, à la délinquance tolérée et à la faillite d’une capitale autrefois admirée dans le monde entier.