Le 26 juillet 2024 restera comme un rendez-vous manqué. La France avait tout pour briller : son histoire, sa culture, ses artistes, ses monuments. Elle devait éblouir le monde. Elle a fini par rougir de honte. Car au lieu d’offrir une célébration grandiose, Paris a confié ses cérémonies olympiques à un « créateur » auto-proclamé, un gourou narcissique obsédé par ses délires idéologiques, grassement payé pour livrer au monde un spectacle grotesque, prétentieux et incompréhensible.
Quand l’idéologie remplace le talent
On nous avait promis la fête, on a eu la leçon. On nous avait promis la beauté, on a eu la provocation. Au lieu de rassembler, ce fut un défilé de clichés, une caricature militante, une succession d’images clinquantes qui n’avaient qu’un but : plaire aux petits cercles pseudo-culturels parisiens.
Or, on apprend désormais que pendant ce temps, David Guetta, Français célébré aux quatre coins du monde, capable de remplir le Vélodrome de Marseille en quelques minutes et bientôt le Stade de France, était tenu à l’écart. Motif ? Il ne « rentrait pas dans la ligne artistique ». Comprenez : il ne servait pas le dogme du « créateur ». Résultat : on a écarté l’artiste français le plus populaire et le plus exporté de sa génération, pour mieux livrer à la planète une fresque indigeste.
Une humiliation mondiale
Le plus cynique : quelques semaines plus tard, Los Angeles l’a sollicité pour ses Jeux de 2028. Les Américains savent reconnaître la véritable popularité. Nous, nous préférons mépriser nos forces vives pour nous vautrer dans le ridicule. Les cérémonies parisiennes n’ont pas marqué l’histoire : elles ont fait rire à leurs dépens, elles ont choqué, elles ont embarrassé. Une humiliation mondiale, dont le metteur en scène sort peut-être satisfait, mais dont la France sort humiliée.
La revanche viendra du peuple
En 2026, David Guetta remplira le Stade de France. Seul, sans idéologie, sans mise en scène grotesque. Simplement avec sa musique et le peuple. Voilà la vraie fête, la vraie communion. Pendant que les élites subventionnées rejouent leurs pièces absconses dans les salons parisiens, c’est la foule, la vraie, qui rappelle ce qu’est la culture : un langage universel, une énergie, un partage.
Les cérémonies de Paris 2024 resteront comme le symbole d’un pouvoir qui ne parle plus au peuple, mais uniquement à lui-même. Une farce à prix d’or, un désastre artistique, et une blessure d’orgueil pour la France.
La revanche viendra, et elle ne portera pas la marque d’un gourou narcissique, mais celle d’un peuple qui veut, tout simplement, vivre et vibrer ensemble.