Londres se lève : le raz-de-marée patriote qui inquiète les élites

Photo : SZ

Samedi, l’histoire s’est peut-être écrite au cœur de Londres. Plus de 110 000 Britanniques ont envahi la capitale, drapeaux de Saint-George et Union Jack brandis, pour dire une chose simple et puissante : « Stop aux bateaux », « Nos rues sont nos rues », « Défendons notre pays contre cette invasion de criminels étrangers ». Des slogans clairs, des voix puissantes, une foule immense.

Dans un Royaume-Uni habitué aux processions compassées et aux débats policés, la démonstration a eu l’effet d’un coup de tonnerre. Jamais depuis des décennies une marée aussi compacte de patriotes ne s’était levée dans l’Ouest européen. Et au centre de cette foule, un meneur : Tommy Robinson.


Le réveil d’un peuple

On peut le critiquer, on peut le caricaturer, mais une chose est sûre : Robinson incarne ce que des millions de Britanniques pensent tout bas. L’immigration de masse bouleverse le pays, les agressions liées aux migrants scandalisent les familles, et les élites politiques, engluées dans leur multiculturalisme, se contentent de sermons creux.

Le succès de la marche de samedi tient à cette évidence : les classes populaires, les jeunes hommes venus du Yorkshire, du Kent, du pays de Galles ou de l’Essex, en ont assez. « Nous avons été trop gentils », confiait un manifestant. Derrière lui, des milliers de poitrines scandaient : « Whose streets? Our streets! » — nos rues à nous, pas aux gangs criminels importés.

Quand le patriotisme devient contagieux

Les observateurs grinçants se sont empressés de rappeler le casier judiciaire de Robinson, ses condamnations passées, ses outrances. Comme si cela annulait la réalité : 110 000 personnes dans la rue, prêtes à défiler pacifiquement derrière lui. Comme si cela effaçait le fait que, depuis des mois, les drapeaux britanniques fleurissent aux fenêtres et que les rassemblements populaires contre l’accueil des clandestins se multiplient.

Robinson a trouvé les mots : « La Grande-Bretagne s’est enfin réveillée. » Et cette phrase résonne bien au-delà des frontières anglaises.

Des alliés de poids

La manifestation a eu ses invités de marque. Éric Zemmour a été accueilli en héros, salué pour avoir rappelé l’évidence : Français et Britanniques subissent le même processus de submersion migratoire, le même grand remplacement démographique, la même impuissance volontaire des élites. Ses mots ont déclenché une ovation.

Plus inattendu, Elon Musk a pris la parole en direct par appel vidéo. L’entrepreneur planétaire, figure du courant Maga, a appelé à un « changement de gouvernement » immédiat au Royaume-Uni. Pas demain, pas après-demain : tout de suite. De quoi donner à ce rassemblement une dimension internationale, quasi insurrectionnelle.

Charlie Kirk, symbole et martyr

Tout au long du cortège, les hommages à Charlie Kirk, figure américaine du conservatisme récemment assassinée, ont été nombreux. Comme si cette mort tragique cristallisait le sentiment d’urgence : ce combat n’est pas local, il est mondial. Les peuples occidentaux sont attaqués par la même idéologie, la même haine de leur identité.

Le choc des deux mondes

En face, cinq mille contre-manifestants agités par les habituelles officines antiracistes, protégés par une police débordée. Quelques échauffourées, quelques arrestations, rien qui ne ternisse l’essentiel : un raz-de-marée pacifique, discipliné, uni. La comparaison est cruelle : quelques centaines de militants subventionnés d’un côté, une marée populaire de l’autre.

Plus qu’une marche : un signal

Ce samedi à Londres n’était pas une simple manifestation. C’était un signal adressé à toute l’Europe. Les Britanniques montrent qu’il est possible de briser le mur du silence, de s’approprier les symboles (le drapeau, la rue, la nation) et de rappeler que l’identité n’est pas négociable.

Quand Keir Starmer parle de « tolérance », les rues de Londres scandent « Défendons notre pays ». Quand les élites rêvent d’une Angleterre dissoute dans le multiculturalisme, 110 000 voix crient qu’elle est encore debout.

Les élites s’inquiètent, les médias s’indignent, mais les peuples, eux, comprennent. Samedi à Londres, c’est une lame de fond qui a surgi. Et elle ne s’arrêtera pas à la Tamise.

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