10 septembre : le grand flop de l’extrême gauche

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On nous promettait une « journée de tous les dangers ». Des semaines d’agitation sur les réseaux, des appels enflammés de la Nupes résiduelle et des collectifs d’ultra-gauche, des menaces à peine voilées de « paralyser le pays ». On connaît la chanson : « le peuple va se soulever », « le gouvernement tremble déjà ». Résultat ? Un pétard mouillé.

Le 10 septembre restera dans les mémoires non pas comme la démonstration de force annoncée, mais comme la preuve du déclin inexorable de l’extrême gauche française. Les Français, eux, ne sont pas tombés dans le panneau. Pas de grève massive, pas de cortèges impressionnants, pas de foule compacte place de la République. Le pays a vaqué à ses occupations, indifférent à la grand-messe révolutionnaire de Jean-Luc Mélenchon.


Le seul « haut fait » de la journée ? Un restaurant incendié à Paris. Voilà tout ce qu’il reste à exhiber comme trophée. De la violence gratuite, de la casse stérile, un symbole dérisoire d’impuissance. L’extrême gauche n’a plus que le feu et les cocktails Molotov pour masquer son vide politique.

Quant à Mélenchon, il récolte ce qu’il a semé. Après avoir cru incarner l’opposant principal, il se retrouve incapable de mobiliser. Ses mots d’ordre sonnent creux, ses slogans ne séduisent plus personne. Les Français ont compris que derrière ses discours grandiloquents se cachent la division, le désordre et, toujours, la violence.

Le 10 septembre, que la gauche radicale voulait transformer en date historique, n’aura été qu’un flop retentissant. Les images parlent d’elles-mêmes : quelques vitrines fracassées, un établissement en flammes, et beaucoup de vide. Pendant ce temps, le pays réel, lui, avance. Et il ne s’arrête plus aux caprices d’une extrême gauche qui s’effondre sur elle-même.

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